« Voici le portrait de cet animal indomptable et démodé : un sentiment », annonce la quatrième de couverture. Erik Orsenna remet en effet au goût du jour la passion adultère entre Gabriel, jardinier, et Elisabeth, haut-fonctionnaire en perpétuel déplacement.
La langueur (dans l’attente de l’autre) et la fougue (dans les retrouvailles) rythment une histoire un peu trop chaotique, et qui cède parfois à la facilité. Néanmoins, la poésie de certains passages alliée à l’érotisme torride de quelques scènes font oublier les défauts, et laissent au lecteur un agréable goût d’interdits transgressés…
La langueur (dans l’attente de l’autre) et la fougue (dans les retrouvailles) rythment une histoire un peu trop chaotique, et qui cède parfois à la facilité. Néanmoins, la poésie de certains passages alliée à l’érotisme torride de quelques scènes font oublier les défauts, et laissent au lecteur un agréable goût d’interdits transgressés…
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